Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (10) : Rachid Et Olga
Je vais maintenant raconter le moment décisif du parcours de notre couple, qui nous a fait définitivement basculer, Philippe vers le candaulisme, moi accepter ma nature hypersexuelle.
Je continue donc le récit de ma métamorphose d'épouse sage à une femme dominée par le plaisir charnel. Je vais parler maintenant de ma rencontre avec Rachid, l'homme qui m'a prise, par la suite, devant mon mari, réalisant ainsi le vu le plus cher de mon époux.
Jai expliqué dans mon précédent texte que cette rencontre navait pas été le fruit du hasard, comme je lai cru au départ, mais la conséquence dune suggestion de Georges, le concierge, à Philippe, qui avait fini par laccepter, malgré la réputation de Rachid.
Mon adultère définitif et permanent a commencé, non dans une sortie mondaine, dans un dîner ou autre, mais à l'occasion d'un bref passage au supermarché du quartier. C'était là que m'attendait mon prédateur, Rachid et c'est dans mon immeuble même (et pour être plus précise dans l'ascenseur de mon immeuble, le concierge, complice de Rachid et de Philippe, ne perdant pas une miette des preuves auditives de ma capitulation) qu'il a remporté sa victoire éclaire et complète. J'ignorais à ce moment-là que, en désespoir de me convaincre de continuer ce que j'avais commencé à Rio, Philippe avait fait appel à ce fauve pour obtenir ma capitulation. Il me l'a avoué plus tard et, alors que j'aurais dû être furieuse d'être traitée ainsi, je n'en veux absolument pas à Philippe. Au contraire ! Sans cette initiative, je ne sais pas ce qui se serait passé. Soit je serai devenue folle à force de refuser ce que mon corps réclamait, soit j'aurai fini par prendre un amant "classique", pour un adultère mesquin, hors cadre candauliste. J'aurai sans doute divorcé et je n'aurai pas vécu tout ce que j'ai connu et que je ne regrette pas, oh que non!
C'était donc en juillet 2007, une des rares journées d'été de cette année-là. Je faisais des courses au supermarché du quartier.
J'avais remarqué ce beau jeune homme, un jeune beur qui me suivait depuis quelques temps, et pour cause, car il faisait du « repérage » pour connaître mes habitudes et bien choisir le moment. Il portait un jeans serré et un tee-shirt. C'était un des jeunes de la cité voisine. Par la suite, il m'a expliqué qu'il m'avait remarquée d'autres fois quand je faisais mes courses à ce supermarché et qu'il avait parié avec ses amis que je serai à lui.
A un moment donné, nous étions seuls dans une allée. Il m'a fixé dans les yeux et il m'a dit :
Je suis certain que tu es une salope. Je m'appelle Rachid et je vais te baiser!
En même temps, il avait mis la main sur l'énorme bosse qui déformait son pantalon.
J'ai rougi, je ne lui ai rien dit alors que j'aurais dû faire un scandale, le gifler ou appeler un vigile pour me plaindre dêtre ainsi importunée. Je me suis contentée de tourner les talons. Je n'avais plus rien connu depuis mon voyage au Brésil en mars et malgré l'attitude complice de mon mari, son insistance à me pousser à la débauche, j'étais bien décidée à ne plus recommencer. J'avais honte de ce que j'avais fait alors.
Je me suis donc empressée de payer mes quelques achats et de rentrer chez moi, sachant qu'une fois à la maison je regretterai de n'avoir pas dit oui à ce type et que jaurais besoin de me calmer en me branlant le clito, en me doigtant, avant de me finir avec mon gode ou un vibro-masseur, et jouir comme une folle en pensant à lui et à son formidable engin.
Dans la rue, je me suis rendue compte qu'il me suivait. Malgré moi, je n'ai pas pressé le pas pour essayer de le semer. Pire, une fois arrivée à mon immeuble, je n'ai pas refermé la porte d'entrée et naturellement il s'est engouffré derrière moi.
J'avais commandé l'ascenseur, il est entré avec moi puis a stoppé l'ascenseur entre deux étages.
Il a commencé à poser les mains sur mes seins et à me caresser. Mes seins se dressaient, mes tétons étaient durs. Comment avait-il deviné que cétait un de mes points les plus sensibles ? Jai compris après que Philippe lavait soigneusement renseigné. Je tentais de protester :
Mais Monsieur, que faites-vous? Vous êtes fou, laissez-moi! Je suis mariée, nous sommes dans mon immeuble. Je suis sérieuse et fidèle. Arrêtez, sinon je vais appeler, je vais crier pour appeler à l'aide!
Oui, tu vas crier, mais de plaisir ! Arrête tes histoires ! Tu as envie, ça se voit. Ton mari, on va le faire cocu!
Il a continué et a commencé à ouvrir les boutons de mon chemisier, libérant mes seins qui se dressèrent immédiatement, malgré moi. Il a commencé à titiller, puis à me sucer les tétons. Je devenais folle de désir, je fermais les yeux, tentant de retenir mes gémissements.
Oh non arrêtez, vous êtes fou ! On peut nous surprendre. Oh, oui, vas-y continue, j'adore ça !
Je le savais. Tu m'as trop excité. Je te baiserai ici même, ma salope.
Il a enlevé ma jupe, a arraché mon mini string. Ses doigts ont commencé à fouiller mon intimité.
Ta chatte est bien ouverte. Dis-donc tu mouilles abondamment. Une vraie chienne en chaleur !
Dune main, ses doigts pénétraient ma chatte et il branlait mon clito. Lautre main soccupait de mes seins. Ma tête était renversée en arrière, jétais dans un autre monde, cétait un rêve.
Rachid sest accroupi et a commencé à me lécher longuement. Jamais on ne mavait fait un cunni avec autant de science, y compris Philippe qui, dans ce domaine, savait jouer de mon corps, y compris mes amantes, même ma chérie Agun qui me manquait tant.
Oh oui, Rachid, cest divin. Bouffe-moi la moule. Oui aspire mon clito, bois ma cyprine ! Oh oui, vas-y, mets moi aussi un doigt dans le cul !
Rachid avait gagné. Je ne pensais absolument plus à mes bonnes résolutions, à l'endroit où j'étais, qu'on pouvait nous entendre, nous surprendre. Heureusement, on était en périodes de vacances. Je ne retenais plus mes gémissements.
Rachid s'est redressé, m'a prise dans ses bras, ses lèvres ont pris possession des miennes et nous avons échangé un baiser interminable, où sa langue possédait la mienne. Ses mains étaient sur mes fesses, je sentais contre moi son désir sauvage, sa verge en érection. J'avais trop envie de lui. Ce jeune mâle avait gagné : pourquoi résister plus longtemps à ma nature ?
Tu sens comme j'ai envie de toi, ma salope. Tu me veux? Je te préviens : je suis ton mâle désormais. Je te prends sans capote et je me vide en toi. Dis-moi que tu as envie!
Oui Rachid, je t'en prie, baise-moi, j'en meurs d'envie!
Oui jai vu que tu es trempée et bien ouverte. Mets-toi à genoux ! Tu vas me tailler une pipe d'abord. Je suis certain que tu es une bonne pipeuse !
Je lui ai obéi et j'ai mis toute mon âme à le sucer, toute ma science de la fellation, moi qui, plusieurs fois par jour, pratiquais sur la queue de Philippe, cétait devenu un rituel entre nous. La verge de Rachid nétait pas du tout du même calibre que celle de mon époux. Ma bouche était déformée, je m'étouffais, mais je ne lâchais pas prise. Mes lèvres étaient serrées autour de la hampe, ma langue torturait agréablement son gland. Il était incroyablement résistant car peu dhommes auraient résisté longtemps résisté à un tel traitement.
Tu es une reine de la fellation, Olga. Tu es divine. Mais je nai pas l'intention pour le moment de me vider dans ta bouche. Jai envie dautre chose et toi aussi
J'avais une envie folle qu'il me prenne. Jamais, même dans mes fantasmes les plus hard, je n'avais pensé à un tel scénario.
Il a fini par me faire relever et m'a dit de me pencher. Il m'a prise en levrette, ma position préférée. Malgré la taille de son engin, j'étais tellement excitée que c'est entré sans problème. Il a commencé le coït :
Tu me sens bien?
Oh oui chéri. Jamais je n'ai été baisée comme ça. Vas y, plus fort, plus profond !
Oui après je t'enculerai dans le lit conjugal, comme ça tu penseras à moi quand tu seras avec lui ce soir. Et un jour je te baiserai devant le cocu. Tu veux?
Oh oui, je veux et lui, il adorera ça. Oh ! Rachid encore! Narrête pas sil te plait, cest trop bon !
Il m'a besogné un long moment. Je n'avais plus aucune retenue. Mes cris devaient s'entendre dans tout l'immeuble. Jignorais alors que, comme convenu entre eux, Georges le concierge nen perdait pas une miette. Il se trouvait dans le couloir à notre étage, Rachid ayant arrêté lascenseur juste en-dessous et Georges ayant pris soin de mettre aux autres étages un panneau « ascenseur en panne ». Rachid avait prévenu Philippe et Georges que cétait le grand jour et quil me suivrait depuis le supermarché. Par sms, Philippe était informé par Georges de la progression des choses, puis Georges lappela et mis le haut-parleur pour quil puisse tout entendre. Rachid en rajoutait pour que ce soit explicite
Je mappelle Rachid A et je suis en train de niquer la belle Olga T, la femme de Monsieur T, dans lascenseur de son immeuble, comme une pute. Allez Olga, dis que tu aimes ça, que je te bourre ?
Oui Rachid, moi Olga T, je suis en train de me prendre en levrette la belle queue de Rachid et jadore ça !
Ca te plait, salope, de faire cocu ton mari ? Dis-le !
Oh oui que ça me plait de cocufier mon mari Philippe T. Depuis le temps quil me le demande, il faudra le faire en sa présence, quil en profite. Oh putain, que cest bon Rachid, mon amour, je suis à toi, je taime !!!!!!!!!
Jignorais totalement que Philippe entendait tout. Il découvrait en direct quil avait ouvert la boite de Pandore et que ça allait bien plus loin quil ne lavait imaginé. Il avait tellement voulu cela, couru un risque majeur et il se trouvait que je tombais amoureuse du type auquel il mavait offerte.
Je pense que ça a au moins duré 10 minutes avant que je ne jouisse sous ses coups de boutoir et qu'il ne se vide en moi par de longs et puissants jets. J'ai cru m'évanouir.
Quand j'ai repris mes esprits, Rachid m'a embrassé, m'a redonné ma jupe, mon chemiser avec lequel il s'était essuyé la verge et m'a dit :
On n'a pas fini. On va chez toi. Désormais je veux te baiser chaque fois que j'ai envie, si possible tous les jours!
Il a remis l'ascenseur en route. J'ai cru mourir de honte car Georges le concierge était à mon étage. Je me suis dit quil avait remarqué que l'ascenseur était bloqué, quil avait surtout entendu les cris mais ne pouvait pas s'imaginer que moi, Olga T, d'habitude si réservée, si hautaine, je métais ainsi faite baiser ainsi, sans retenue, dans lascenseur de mon immeuble.
Rachid n'a rien fait pour être discret. De toute façon, je ne pouvais nier: cheveux en bataille, yeux cernés, chemisier taché et mal boutonné, le sperme qui coulait sur mes jambes. Et en plus Rachid qui posait ostensiblement les mains sur mes fesses, en signe de victoire et de propriété.
Le concierge a fait un clin d'il à Rachid et nous a dit :
Bonne journée, Madame T !
Quand nous sommes entrés dans l'appartement, j'ai dit à Rachid :
Tu es fou. Il va tout raconter.
Et alors? Je suis fier de moi, de ma conquête. Tu es à moi désormais. Tu diras tout à ton mari de toute façon, cest bien ce qui est convenu entre vous, non ?
Sur ce, Rachid a arraché mes vêtements et m'a entraînée vers la chambre. Cétait la première fois que je trompais Philippe sur le lit conjugal puisque mes précédents adultères sétaient déroulés dans un hôtel (avec Pierre, pour notre nuit de noces), dans le parking, avec Georges et, à nouveau dans un hôtel, récemment à Rio.
Cétait une étape décisive qui était franchie. Plus question désormais dépouse sage. Philippe lavait voulu, il devait assumer. Cest dans cet appartement, dans ce lit, que, chaque jour, je serai possédée par un homme que je ne connaissais pas le matin même et dont jétais devenue follement amoureuse.
Jétais insatiable, il était endurant. Il m'a encore fait l'amour pendant des heures et m'a en particulier enculée et m'a fait avaler sa semence. A l'issue de cette journée, ma vie était définitivement changée. Jai compris que je ne pouvais plus ni me priver de plaisir, ni me passer de Rachid.
Rachid m'avait besogné dans le lit conjugal toute l'après-midi. Quand Philippe est rentré peu après le départ de Rachid, j'étais restée sur le lit, nue, portant sur mon corps et en moi les séquelles de mes ébats.
Philippe a commencé par recueillir dans ma chatte et sur mon corps le sperme de mon amant. Je lui tenais la tête, le traitant de cocu, de petit pédé. Je rêvais, non seulement du moment où Rachid me prendrait devant Philippe mais aussi du moment où mon amant enculerait mon époux en ma présence. Je savais, pour sodomiser Philippe régulièrement avec mon gode-ceinture, quil était un bisexuel refoulé, qui rêvait de se faire prendre et de sucer à fond une belle queue, surtout si elle avait auparavant fait jouir sa chérie. Quant à Rachid, je ne doutais pas que ce vicieux aurait plaisir à casser le cul du cocu, après avoir baisé son épouse. Cela se fera, jen parlerai ultérieurement.
J'ai donc tout raconté à Philippe et je dois dire que ce soir-là, il m'a baisée comme il ne l'avait plus fait depuis longtemps. Certes comparée à la queue de celui qui était désormais mon mâle, le sexe de mon cocu était ridicule. Il avait du plaisir, non de me baiser, encore que sa queue baignait dans ma chatte pleine des uvres de mon amant, mais de ce que je lui racontais, en omettant aucun détail.
Je me suis efe d'aller au fond des choses avec Philippe. J'ai donc relancé la discussion et j'ai été directe, alors qu'il était dans mes bras:
Chéri, j'ai découvert au cours de ces derniers mois un plaisir que je n'imaginais pas et dont je ne veux plus me passer. Mais que vas-tu faire? Je ne veux pas te perdre car je t'aime toujours et je dirai même plus que jamais. Tout cela, cest grâce à toi.
Mon Olga, je t'aime plus fort que jamais, comme un fou. Je t'encourageais depuis des années à avoir des amants. Bien sûr ça m'excite énormément de t'imaginer, et, je lespère, de te voir jouir sans retenue sous les assauts d'un homme. Mais avant tout, je t'aime et je te donne la plus grande des preuves d'amour. Tu ne me trompes pas, non seulement parce que je t'ai toujours dit que tu étais libre, que je suis d'accord et que je t'encourage. Je suis heureux que tu aies enfin le plaisir que tu mérites. Je veux que tu sois heureuse.
Tu te rends bien compte de la situation ? Je suis amoureuse de Rachid, je suis folle de lui, je suis désormais à lui. Il sera non seulement mon amant régulier mais il viendra ici et me fera l'amour à chaque fois qu'il le pourra et en aura envie. Il a exigé que je lui réserve ma chatte. Il me prendra sans préservatif. Pour le moment, je prends la pilule mais je lui ferais un quand il le souhaitera. Toi, tu ne te videras plus en moi ou tu mets une capote. Et enfin, il fera de moi ce quil veut. Il ma dit quil moffrirait à dautres. Tu acceptes tout cela ? Tu n'es pas jaloux ? Tu acceptes que je sois amoureuse dun autre ? Que je sois sa femelle, sa putain ?
J'accepte tout. Je n'ai qu'un souhait, celui de rester près de toi si tu m'acceptes.
Evidemment, car si Rachid est désormais mon homme, toi tu restes mon Philippe, mon mari, lhomme de ma vie.
Olga, mon amour, je pourrai assister quand il te baise ? Tu sais que jen ai tant envie.
Je te donnerai à mon tour cette preuve damour, mon chéri. Rachid a dit quil était daccord, mais que ce serait quand il laura décidé.
Merci mon amour. Je taime tant.
Philippe, ce soir, je suis à toi, je vais commencer par te vider les couilles grâce à une bonne pipe, car tu dois en avoir besoin, mon petit cochon. Et jai toujours envie de te boireEnsuite tu fisteras ma chatte qui est bien lubrifiée avec tout ce quil ma envoyé et, pour finir, car je suis insatiable, jai envie de deux choses que jadore.
Quoi ma chérie ?
Dabord tenculer, te casser le cul, car je veux te préparer pour un jour te livrer à Rachid qui fera de toi une femelle, mon pédé chéri.
Tu connais bien mes fantasmes, ma chérie !
Et enfin tu puniras comme il se doit ta putain adorée, et comme il faut car jai besoin de ça pour me calmer, après cette journée exceptionnelle.
Après deux heures de nos pratiques les plus hard, nous avons fini par la séance SM que javais réclamée. Philippe avait exhaussé mes vux, ses coups de cravaches furent à la hauteur de ce que je réclamais, au point que le lendemain, Rachid, me déshabillant et voyant les traces sur mon dos, me dit « vous êtes encore plus vicieux que je ne le pensais On va bien samuser tous les trois ! »
Cette nuit-là, Philippe et moi nous nous sommes endormis nus, dans les bras lun de lautre, épuisés, heureux de cette journée inoubliable, toujours aussi amoureux. Notre vie était définitivement changée. Jassumais désormais pleinement mon hypersexualité et, chose que je ne mimaginais pas, mon amour pour deux hommes. Philippe, à force de patience et, il faut le dire, dintrigues, était parvenu à ses fins et pouvait espérer que bientôt son vieux fantasme candauliste serait pleinement réalisé.
Il ne serait en effet pas déçu.
(A suivre : Rachid baise Olga devant Philippe)
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